Alyson Mendoza

Cayo Perico serre la vis : nouvelle taxe de douanes pour les résidents de Los Santos

Par Alyson Mendoza – 21 juin 2025 LOS SANTOS — C’est désormais officiel : tous les résidents de Los Santos se rendant sur l’île de Cayo Perico seront soumis à une nouvelle taxe de douanes, applicable immédiatement. 📝 Le conseil insulaire temporaire a publié un communiqué aussi bref que tranchant : « Il s’agit de freiner les abus flagrants observés par la population locale ces derniers mois. » Ce que cela signifie en coulisses ?Des villas de luxe non déclarées, des cargaisons douteuses, et un trafic insolite de cigares haut de gamme, de montres importées… et d’influenceurs en plastique. Oui, vous avez bien lu. « Ça fait longtemps qu’on voyait des types débarquer en hélico, remplir leur yacht de caisses et repartir comme si c’était un centre commercial. C’est fini maintenant. »— Témoignage d’un pêcheur local de l’île Le tarif exact de la taxe n’a pas été communiqué, mais des rumeurs parlent d’un montant progressif et agressif selon la cargaison, la durée du séjour, et… la marque de votre maillot de bain. 🧨 CHUTE HISTORIQUE : LE DICTATEUR DE CAYO, M. MOUSTACHE, DÉMIS DE SES FONCTIONS Mais l’info du jour, c’est surtout celle-ci : M. Moustache, le dictateur fantasque de Cayo Perico, a été renversé dans la nuit du 11 au 12 juin lors d’un événement mondain. Le scénario ? digne d’un film d’action tropicale : 🎭 Selon une source anonyme : « Il n’a rien vu venir. Il dansait encore la salsa quand les menottes sont arrivées. » Le groupe revendique son acte au nom du Front Unifié des Serveurs Exaspérés (FUSE), exigeant « congés payés, reconnaissance syndicale, et buffet libre permanent ». Leur nouveau mot d’ordre : “Pas de révolution sans hors-d’œuvre.”

Cayo Perico serre la vis : nouvelle taxe de douanes pour les résidents de Los Santos Read More »

Le carburant en péril : Los Santos au ralenti ?

Par Alyson Mendoza – Weazel News À Los Santos, ville qui ne dort jamais, où les klaxons rivalisent avec le grondement des moteurs et où chaque seconde compte, le silence des stations-service désertées fait figure d’anomalie inquiétante. Depuis plusieurs jours, une pénurie d’essence inédite met la métropole à genoux. Ce n’est plus seulement une question de transport, mais bien une alerte rouge sur la résilience même de la ville. Une métropole au point mort Les chauffeurs de taxi stationnés à l’ombre de leurs véhicules vides, les coursiers à moto errant en quête d’un bidon salvateur, les entrepreneurs forcés de suspendre leurs opérations : les visages de la crise sont multiples. Dans certains quartiers, on a vu des résidents pousser leur voiture jusqu’à la pompe, parfois pour découvrir un panneau : Rupture de stock jusqu’à nouvel ordre. “C’est la première fois que je dois annuler des courses à cause d’un manque d’essence. On dirait un scénario post-apocalyptique,” se désole un chauffeur de taxi voulant garder l’anonymat. Les causes d’un chaos évitable ? Ce qui choque autant que la crise elle-même, c’est l’absence de réponse claire. Les autorités municipales et les représentants du Département de l’Énergie se renvoient la balle. Des documents internes que nous avons consultés révèlent que des retards d’approvisionnement avaient déjà été notés il y a plus de deux semaines — sans réaction notable. Certaines sources parlent de désaccords commerciaux avec les principaux fournisseurs basés à Blaine County, d’autres dénoncent un sabotage organisé, voire une stratégie de pression économique en lien avec les tensions croissantes entre les syndicats du transport et les distributeurs pétroliers. Les conséquences économiques immédiates Les réseaux de livraison sont fortement perturbés, notamment dans le secteur de la restauration rapide et des commerces de proximité. Des pertes évaluées à plusieurs centaines de milliers de dollars sont déjà enregistrées. Les entreprises du port ont ralenti leur cadence, tandis que certains employeurs envisagent le télétravail forcé, dans une ville où cette option reste marginale. Les usagers du transport en commun, eux, subissent les contrecoups : plusieurs lignes de bus ont été suspendues faute de carburant, et le prix du ticket de métro a déjà bondi de 15 % en moins de 48 heures. Vers une crise sociale ? Des groupes de citoyens commencent à s’organiser via les réseaux sociaux, dénonçant une mauvaise gestion de la crise et appelant à des actions de protestation. La rumeur court même qu’un mouvement de grève générale pourrait être lancé si la situation ne se résout pas rapidement. Dans les quartiers populaires comme Mirror Park ou Strawberry, le sentiment d’injustice monte : “Encore une fois, c’est nous qui payons pendant que les riches se font livrer de l’essence en bidons privés,” entend-on dans les rues. Un symptôme d’un mal plus profond ? Ce manque d’essence n’est peut-être que la partie émergée de l’iceberg. Il révèle des failles structurelles profondes dans la gestion logistique et énergétique de Los Santos. Une ville dépendante de l’automobile et sans plan de contingence crédible en cas de crise est-elle encore viable à long terme ? Les experts interrogés par Weazel News s’accordent : la transition énergétique, souvent repoussée, doit devenir une priorité. Mais le chemin sera long, et la population, elle, demande des réponses immédiates, pas des promesses à dix ans. Weazel News suit la situation de près. Restez connectés pour les prochaines mises à jour.

Le carburant en péril : Los Santos au ralenti ? Read More »