politique

“This is not a love song” – Un texte d’opinion

Je suis née dans un monde où l’on m’a appris à diriger, à parler plusieurs langues et à lire entre les lignes. Mais ce que l’Amérique fait de sa culture, de sa liberté, et de sa peur du pouvoir féminin, exige aujourd’hui une réponse claire. Et ce ne sera pas une chanson d’amour. Je quitte Zurich. J’ai 18 ans. Un passeport diplomatique, trois diplômes en main, une vision du monde forgée dans les bibliothèques de la Sorbonne, les salons humanistes suisses et les archives familiales. Je pars pour Los Angeles. Dans mon casque : « Amerika » de Rammstein. Ce n’est pas une chanson. C’est un miroir sale, posé devant une Amérique qui se rêve encore juste, universelle, évangelisante. Je suis venue à elle avec rigueur, loyauté, et amour. Et aujourd’hui, je me retrouve observée, attaquée, réduite au silence par ceux qui confondent structure avec menace. Je m’appelle Fallon Lisa Strauss. Et je suis prête à remettre les pendules à l’heure. ORIGINES : NAÎTRE DANS UNE ARCHITECTURE DU POUVOIR Je suis née le 3 octobre 1986 à Zurich, en Suisse, dans une villa moderniste surplombant le lac. Mon père, Walter Strauss, dirigeait alors Strauss International, un conglomérat scientifique, médiatique et diplomatique fondé par mon grand-père pendant l’entre-deux-guerres. Ma mère, Alexis Morelli, est née à Brooklyn. Fille d’Anthony Morelli, un entrepreneur influent de la côte Est, et sœur de Frank Morelli, figure bien connue dans les cercles politico-culinaires de Los Santos et New York. Mes cousins, Jimmy et Vinny Morelli, incarnent aujourd’hui la face visible de cet héritage italo-américain : flamboyants, stratèges, et culturellement redoutables. Je suis la cadette de quatre enfants : Walter Jr., Hector, Savannah et moi, Fallon. Je suis celle que l’on formait en coulisses, à l’écoute, en analyse. LANGUES, DIPLÔMES ET LOYAUTÉS CROISÉES Ma langue maternelle est l’allemand. Mais j’ai été élevée en quatre langues : Allemand, pour penser. Français, pour nuancer. Italien, pour sentir. Anglais, pour agir. À 17 ans, je décroche un certificat en gestion des affaires culturelles (Sorbonne Nouvelle) et un bachelor en histoire de l’art (Université de Zurich). À 20 ans, je termine un master en marketing de luxe à l’Université Internationale de Monaco. Cette structure, cette discipline, cette exposition au monde, ne sont pas des armes. Ce sont mes fondations. Et elles font peur. Parce qu’elles ne sont pas dépendantes. STRAUSS INTERNATIONAL : UNE DYNASTIE QUI NE SE VEND PAS Strauss International, ce n’est pas un logo. C’est un réseau transnational fondé sur une philosophie humaniste : que la science, la vérité et la mémoire doivent survivre aux marchés. Deux entités majeures : Strauss Pharma : recherche avancée, traitements non-brevetables, santé publique globale. Strauss Medias Group : presse d’enquête, anti-spectacle, protégée contre les algorithmes. Nous avons ouvert des sièges à Los Santos en 2009. Mon objectif : ancrer la réflexion dans un territoire saturé d’immédiateté. FIB, OBSERVATION ET PARANOÏA ORGANISÉE Depuis 2022, j’ai l’insigne honneur d’être en « observation préventive » par le FIB. Danny Baker, agent vedette, me soupçonne d’agir contre les intérêts nationaux parce que je refuse les partenariats gouvernementaux opaques, les ententes avec les plateformes d’exploitation médicale, et la conversion de la pensée en contenu marchandisable. Pas une infraction. Pas un dossier. Juste une femme trop libre. Et donc trop dangereuse. LOS SANTOS : LA CARICATURE D’UNE DÉMOCRATIE Los Santos est le miroir grossissant d’une Amérique sous tension : Décisions en stories. Lois dictées par les tendances. Réalité filtrée. Dans ce contexte, une femme comme moi devient suspecte : trop posée, trop structurée, trop cultivée pour ne pas être une figure de l’ombre. Et pourtant, je suis là. Visible. Claire. Non-négociable. AMERIKA DE RAMMSTEIN : UNE PROPHÉTIE EN STÉRÉO « Amerika » de Rammstein est la chanson fondatrice de mon rapport à ce pays. “We’re all living in Amerika / Coca-Cola, Wonderbra” Ce n’est pas une chanson. C’est un scalpel. Rammstein ne parle pas des États-Unis. Ils parlent de la dissolution culturelle mondiale causée par leur exportation de surface. “This is not a love song.” Et je le répète. Ceci n’est pas une déclaration d’amour. C’est un acte de souveraineté individuelle. JE RESTE. JE RÉPONDS. JE DIRIGE. Je suis mariée à un avocat américain, mère de deux enfants : Daphné Rose et Noah Wolfgang. Je ne partirai pas. Je ne m’excuserai pas. Je suis le fruit de deux héritages puissants : Strauss : la rigueur européenne. Morelli : l’ambition américaine. Je suis un point d’intersection. Une femme qui parle quatre langues. Qui refuse de crier. Qui construit. Et qui voit très loin. Et cela fait de moi une cible. Donc une nécessité. “This is not a love song.” C’est un miroir. C’est une promesse. C’est un avertissement. — Fallon Lisa Strauss

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Le DOGE Prend les Rênes : Réforme du FIB en Marche sous la Direction d’Erwin Corcass

Dans une annonce qui secoue le paysage politique et sécuritaire de Los Santos, le Département de l’Efficacité Gouvernementale (DOGE), dirigé par Erwin Corcass, a officiellement déclaré sa volonté de réformer le Federal Investigation Bureau (FIB). Accusée de pratiques corrompues et de manquements graves à l’éthique, l’agence fédérale pourrait bientôt subir un changement radical visant à restaurer la confiance du public et à purger le système de ses éléments dévoyés. Un Système Corrompu ? Depuis plusieurs années, le FIB fait face à des accusations de corruption internes, de manipulation des preuves et de collusion avec des acteurs du crime organisé. Des enquêtes internes ont révélé des liens inquiétants entre certains agents et des figures influentes du monde criminel, rendant la confiance du public dans l’agence de plus en plus fragile. Sous la direction d’Erwin Corcass, le DOGE a décidé de prendre des mesures radicales pour redresser la situation. L’objectif est d’implémenter des changements qui rétabliront une transparence totale et permettront de renforcer les mécanismes de contrôle au sein de l’agence. Une Réforme Profonde et Imminente Bien que les détails précis de la réforme restent encore flous, le DOGE, sous l’impulsion de Corcass, promet une réorganisation complète des pratiques internes du FIB. L’objectif est d’implémenter des mécanismes de contrôle plus stricts sur les agents, renforcer la transparence des enquêtes et mettre en place un processus de vérification des antécédents des employés afin de garantir qu’aucun agent n’ait de liens avec des organisations criminelles. “Nous devons restaurer l’intégrité et garantir que les membres du FIB agissent dans l’intérêt du public, et non de leurs propres intérêts ou de ceux d’un réseau de corruption”, a déclaré Erwin Corcass lors d’une conférence de presse organisée pour l’annonce. De plus, des réformes législatives sont également envisagées pour permettre un meilleur contrôle de l’agence par les autorités publiques, avec des audits réguliers et un système de dénonciation protégé pour les agents souhaitant signaler des abus sans crainte de représailles. Le Début d’une Nouvelle Ère ? Les experts en politique et en sécurité affirment que cette réforme pourrait marquer un tournant dans l’histoire des forces de l’ordre de Los Santos. En remettant en question la structure du FIB, Erwin Corcass semble vouloir envoyer un message fort : la corruption n’a pas sa place dans les institutions publiques, quel que soit le pouvoir ou la position de ceux qui en profitent. Cependant, cette réforme suscite également des inquiétudes parmi certains membres du FIB. Des voix s’élèvent pour dénoncer l’ingérence du DOGE dans les affaires internes du FIB, certains craignant que cette restructuration n’entraîne une perte d’autonomie de l’agence. De plus, des questions se posent sur l’impact de ces changements sur les agents qui ont longtemps travaillé sous des pratiques de corruption endémiques. Des Alliances et des Oppositions Le DOGE ne fait pas l’unanimité au sein du gouvernement, et certains de ses membres sont sceptiques quant à l’efficacité d’une telle réforme. Néanmoins, il bénéficie du soutien de nombreux citoyens, des groupes de défense des droits civiques et même de certains politiciens, qui saluent l’ambition de nettoyer les écuries d’Augias du FIB. “Ce genre de réformes est nécessaire. Nous avons vu des preuves de l’impunité et de la corruption, et il est grand temps que quelqu’un fasse le ménage”, a déclaré un activiste local. Ce Qui Est À Venir Les mois à venir s’annoncent cruciaux pour l’avenir du FIB et pour la mise en œuvre de cette réforme. Alors que le DOGE prépare les premières étapes de son plan de restructuration, des réunions discrètes se tiennent dans les coulisses, où les hautes sphères du gouvernement et des agences de sécurité discutent de la meilleure manière de procéder. Pour certains, cette réforme pourrait bien être la première d’une série de réformes profondes dans d’autres institutions corrompues du pays. Pour d’autres, elle reste une tentative risquée de changer un système bien ancré, avec des répercussions difficiles à prédire. Dans tous les cas, le changement est en marche. Le DOGE, sous la direction d’Erwin Corcass, a clairement déclaré la guerre à la corruption au sein du FIB, et il semble bien déterminé à remanier les choses en profondeur, quitte à bousculer les équilibres établis. Restez connectés à WEAZEL NEWS pour les dernières mises à jour sur cette réforme en cours et ses répercussions sur la scène politique et sécuritaire de Los Santos.

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Quand l’Avarice Devient une Monnaie : Le DOGE, l’Empire du Vide et l’Infiltration Politique d’un Magnat de la Tech

📅 Par Fallon Lisa Strauss – 2025 Il fut un temps où l’ascension fulgurante des barons de la tech était saluée comme un symbole de progrès. Aujourd’hui, alors que nous observons l’empire de l’un d’eux se draper dans le voile du cynisme, nous devons poser une question essentielle : jusqu’où peut aller un homme obsédé par son propre reflet dans le miroir de l’histoire ? L’histoire du DOGE, cette cryptomonnaie à l’image d’un canidé rieur, ne serait qu’un mème inoffensif si elle ne cachait pas les véritables mécanismes de son influence. Son créateur, une figure omniprésente qui se prend pour un génie messianique, ne vend pas une révolution monétaire : il vend du vent enrobé d’un branding absurde, et pourtant, des milliers de citoyens investissent, rêvant d’un avenir doré qui ne leur sera jamais accessible. Mais derrière le masque de l’excentricité, se cache une réalité plus inquiétante : une infiltration des sphères politiques par un empire qui ne répond à aucune autorité, si ce n’est la sienne. L’Enfumage Cryptographique : Une Manipulation de Marché Bien Huilée L’ascension du DOGE n’est pas le fruit du hasard. Elle repose sur une stratégie bien rodée : manipulation de marché, influence médiatique et promesses de grandeur pour les plus naïfs. Chaque fois que ce prétendu visionnaire tweet une vague phrase énigmatique, une armée d’adeptes se rue sur le marché, poussant artificiellement les prix vers le haut. Puis, à chaque pic, les mêmes initiés encaissent leurs profits, laissant derrière eux des milliers de rêveurs ruinés. Et que fait ce messie de la finance décentralisée pour ses adorateurs une fois que les chiffres chutent ? Rien. Il ne s’excuse pas. Il ne rend pas de comptes. Il ironise sur la volatilité et se moque de ceux qui ont osé croire en lui. Car après tout, pour lui, ils ne sont que des pions sur un échiquier dont il contrôle chaque case. Mais cette influence sur les marchés financiers n’est que la première phase d’un projet bien plus vaste : imposer le DOGE comme une monnaie d’influence politique et de contrôle technocratique. Le DOGE Comme Arme Politique : Une OPA sur le Pouvoir Les milliardaires n’aiment pas attendre. Ils n’aiment pas les lenteurs bureaucratiques, ni les régulations qui entravent leurs ambitions. Alors, plutôt que de jouer avec les règles du jeu, ils les réécrivent à leur avantage. Récemment, plusieurs sources ont révélé l’influence grandissante du DOGE dans les hautes sphères gouvernementales, en particulier via le Département de l’Efficacité Gouvernementale (Department of Government Efficiency). Une institution obscure qui, sous prétexte d’optimisation et de modernisation, sert de porte d’entrée pour intégrer les cryptomonnaies aux mécanismes de l’État, sans supervision démocratique. L’objectif ? Faire du DOGE une monnaie d’échange incontournable dans les services publics et les contrats gouvernementaux, le tout sous couvert d’innovation. Imaginez un monde où :🔹 Les salaires de certains fonctionnaires seraient versés en DOGE, leur pouvoir d’achat fluctuant au gré des tweets d’un seul homme.🔹 Les marchés publics seraient attribués aux entreprises affiliées à l’écosystème DOGE, créant un réseau de corruption sous une apparence légitime.🔹 Les citoyens dépendraient d’une monnaie privée pour accéder à certains services essentiels, plaçant leur quotidien sous le contrôle direct d’une entreprise privée déguisée en mouvement technologique. Ce n’est plus seulement une question d’économie, c’est une question de souveraineté. Car dans un tel scénario, qui contrôle réellement l’État ? Une Fortune Bâtie sur des Ruines Humaines : Le Passé Oublié d’un Empire Le DOGE n’est qu’une distraction. Une façade scintillante pour détourner l’attention de l’origine réelle de cet empire : un empire bâti sur la souffrance humaine. Car au-delà de son rôle de gourou technologique, son nom est lié à un commerce bien plus sombre : celui des diamants de sang. Sa famille, autrefois propriétaire de concessions minières en Afrique, n’a pas fait fortune dans la philanthropie. Elle a exploité des hommes, des femmes et des enfants, dans des conditions inhumaines, pour extraire des pierres précieuses tachées du sang des ouvriers qui les ont déterrées. Mais cette vérité ne se retrouve pas dans ses fanfaronnades sur la liberté financière ou sur l’avenir radieux que sa technologie nous promet. Et aujourd’hui, il applique la même logique impitoyable aux cryptomonnaies. Il ne vend pas une monnaie, il vend une servitude moderne. L’Empire du Vide : Une Mégalo en Quête de Domination Et maintenant, il veut plus. Il veut le monopole du futur. Il veut que nous roulions dans ses véhicules, que nous communiquions avec ses satellites, que nous investissions dans ses cryptos. Il veut une ville à son nom, une planète à son image, et une humanité à genoux devant lui. À quoi mène cette obsession de la grandeur ? À une fuite en avant où la mégalomanie prend le pas sur la raison, où les marchés ne sont plus que des terrains de jeu pour milliardaires, et où les populations ne sont que des spectateurs impuissants d’un cirque qu’ils financent malgré eux. La question à se poser n’est pas “devrions-nous investir dans le DOGE ?” mais bien “combien de temps allons-nous encore accepter d’être dupés ?” La vraie richesse ne se mesure pas en cryptoactifs. Elle se mesure en éthique, en responsabilité, et en dignité humaine. Trois valeurs que cet homme, avec tout son pouvoir et toute sa fortune, semble avoir délibérément choisi d’ignorer. Et si nous arrêtions, pour une fois, de nourrir les ogres qui nous dévorent ? — Fallon Lisa Strauss, Weazel News

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